dimanche 24 novembre 2013

Visite au Bird center d'Urdaibai


Urdaibai est un centre oú on peut observer beaucoup d´éspèces d´oiseaux comme :
Garza Real, Garcilla Bueyera, Garceta Común, Avetoro, Martin Pescador…
À l´entrée d´Urdaibai il y a un très grand paneaux oú ils nous expliquent toutes les éspèces d´oiseaux qu´il y à a Urdaibai, la migration des oiseaux et par oú ils passent. Aussi il y a des vidéo oú ils nous expliquent la migration des oiseaux à Urdaibai.
 Bird Center est situé au cœur de la réserve de biosphère d'Urdaibai.
Urdaibai est situé dans l'une des plus importantes voies de migration des oiseaux en Europe, ce qui est un lieu d'intérêt particulier pour l'étude des migrations des oiseaux
Dans le centre il y a des équipes de recherche du Centre, afin que les visiteurs peuvent voir les projets des oiseaux sur lesquels ils travaillent. Urdaibai Bird Center a fait beaucoup de projets afin d´ approfondir les connaissances sur les oiseaux et leurs habitats dans la réserve de la biosphère d'Urdaibai.

jeudi 24 octobre 2013

La photosynthèse

La photosynthèse permet à la plante de fabriquer du sucre (C6 H12 O6) en utilisant le dioxyde de carbone de l'air (CO2) et l'eau contenue dans la sève (H2O). Ce phénomène produit un déchet, l'oxygène (O2) qui est rejeté dans l'atmosphère. Pour cela, la plante a besoin de beaucoup d'énergie (E). C'est la lumière du soleil qui la lui fournit. La chlorophylle, le produit vert qui colore les feuilles, est indispensable, elle aide cette réaction à se produire.

Bibliographie :
Consulté le :24/10/13
Site :La formule de la photosynthèse
Disponible sur :http://www.fondation-lamap.org/fr/topic/12572

Voir vidéo ci-dessous :

Écosystème marais Urdaibai

La ria d'Urdaibai constitue l'un des sites naturels les plus intéressants du Pays basque. Des montagnes relativement peu élevées, très escarpées cependant, donnent accès à une vallée qui débouche sur la mer Cantabrique en créant un large estuaire. La plaine cultivée se transforme en marais, tandis que sur la côte, les plages sont entrecoupées de falaises. Aussi, de nombreux biotypes et écosystèmes cohabitent-ils. En ce sens, un exemple remarquable de cette harmonie est la zone humide inscrite dans la Convention de Ramsar, classée Zone de protection spéciale des oiseaux. La diversité qui caractérise ce site se manifeste dans l'existence de forêts de chênes verts, de maquis, de landes, de rochers et de plantes aquatiques. Dans les régions où la main de l'homme est intervenue, il existe des plantations forestières, des prairies et des cultures abritant d'autres espèces animales et végétales. Parmi plus de 600 espèces que compte cette zone, les plantations de chênes verts cantabriques méritent une mention à part. En ce qui concerne la faune, la communauté la plus importante est constituée par des oiseaux, étant donné que cette zone humide est un endroit de passage pour de nombreux oiseaux migrateurs. Cette richesse ornithologique est due à la présence aussi bien d'oiseaux sédentaires que d'oiseaux qui nidifient. Plus de 300 vertébrés ont été répertoriés dans cette réserve de la biosphère. Parmi ceux-ci, mentionnons le vison d'Europe dont subsistent quelques rares exemplaires au Pays basque.

Bibliographie :
Site : Reserva de la biosfera de Urdaibai
Consulté le : 24/10/13
Disponible sur : http://www.spain.info/fr/que-quieres/naturaleza/espacios naturales/reserva_de_la_biosfera_de_urdaibai.html

 

dimanche 13 octobre 2013

La spatule blanche

Nom en latin : Platalea Leucorodia
         en Français : Spatule blanche
         en Espagnol : Spatula blanca
         en Euskera : Mokozabal
         en Anglais : Eurasian Spoonbill

DESCRIPTION DE L’OISEAU :
L : 70-95 cm   -   Env : 115-135 cm    -    Poids : 1130-1960 gr
La Spatule blanche se trouve en général dans les zones humides où des groupes pataugent dans les eaux peu profondes. Le lissage mutuel des plumes est l’une de leurs principales activités.



HABITAT :
 
La Spatule blanche fréquente les zones humides très étendues telles que les terres inondées, les fleuves et les marais ainsi que les cours d’eau importants.
Elle nidifie sur les iles, parfois sur la côte, mais le plus souvent près des lacs et des fleuves. Il lui arrive de s’installer dans les roselières avec des buissons et des arbres clairsemés, ou dans la végétation émergente épaisse.


DE QUOI SE NOURRIT-IL ?
  La Spatule blanche se nourrit de dytiques ou scarabées aquatiques, de libellules, de trichoptères, de sauterelles, de mouches et autres espèces d’insectes. Elle consomme aussi des crustacés, des mollusques, des vers, des sangsues, des grenouilles, des têtards et des petits poissons. Elle peut aussi consommer quelques algues.
Elle se nourrit en petits groupes en marchant dans une eau peu profonde.


ZONE DE NIDIFICATION :

Les Spatules blanches nidifient en grandes colonies monospécifiques, les deux adultes participent à la construction du nid, mais c’est surtout la femelle qui construit, avec les matériaux apportés par le mâle. Les nids sont près de l’eau ou au-dessus. La saison de reproduction varie avec la distribution, et dépend du niveau des eaux dans certaines régions. La femelle dépose 3-4 œufs. L’incubation dure 24-25 jours, partagée par les deux adultes. A la naissance, les poussins sont couverts de duvet blanc épars. Ils ne naissent avec le bec aplati, et ont un bec plutôt court, doux et charnu. Il commence à s’aplatir au bout de 9 jours, et ressemble à celui des adultes à l’âge de deux semaines.
Les jeunes quittent le nid au bout de 45-50 jours après la naissance.
Ils seront sexuellement matures vers 3 ou 4 ans.



ZONE D´HIBERNATION :

La Spatule blanche est migratrice et hiverne plus loin vers le sud pour la race nominale du Paléarctique. Les races « balsaci » et « archeri » sont sédentaire avec quelques dispersions. Elles voyagent habituellement en formation linéaire et à une hauteur considérable. Sur les zones d’hivernage, on la trouve aussi dans les habitats côtiers abrités, les criques, les deltas, les estuaires et les lagunes côtières.

Bibliographie :
Site : Spatule blanche
Consulté le :13/10/2013
Disponible sur : http://www.oiseaux-birds.com/fiche-spatule-blanche.html



 







Le courlis cendré

Nom en latin : Numenius Arquata
         en Français : Courlis Cendré
         en Espagnol : Zarapito Real
         en Euskera : Kurlinta handia
         en Anglais : Eurasian Curlew


 

DESCRIPTION DE L’OISEAU :

Longueur : 50-60 cm – Bec : 15-16 cm
Envergure : 80-100 cm
Poids : M : 400-1000 gr – F : 475-1360 gr

L’adulte en plumage nuptial a la tête, le cou et le haut du manteau brun chamoisé clair. La tête et le cou sont striés de noirâtre et le manteau présente des taches et des barres sombres indistinctes. Le bas du dos et le croupion sont blancs. La queue blanche est barrée de brun foncé. Le dessus des ailes est brun chamoisé clair tacheté de sombre avec les rémiges noirâtres. Sur les parties inférieures, le haut de la poitrine est blanchâtre et strié de sombre, mais le bas présente des stries plus serrées. L’abdomen, le bas-ventre et les couvertures sous-caudales sont blancs et finement striés de brun foncé. Les flancs présentent des chevrons foncés. Le dessous des ailes est blanc avec des stries et des taches en quantité variable.

HABITAT :

Le Courlis cendré se reproduit dans les zones découvertes, les herbages humides et les landes, les tourbières, les zones forestières herbeuses ou marécageuses, les cultures, les landes de bruyère et les marais côtiers.
En dehors de la saison de reproduction, on le trouve dans les vasières le long des côtes, dans les baies et les estuaires, sur les rives boueuses des lacs et des fleuves à l’intérieur des terres, mais aussi sur les rivages rocheux et les zones humides côtières.
Pendant les migrations, ils fréquentent les herbages humides et les terres arables.


DE QUOI SE NOURRIT-IL ?

Le Courlis cendré se nourrit surtout d’annélides, arthropodes, crustacés, mollusques, graines et baies toute l’année. Mais occasionnellement,  il lui arrive de capturer des vertébrés tels que les amphibiens, les lézards, les jeunes oiseaux et probablement les œufs, et des petits rongeurs. Pendant l’été, des insectes terrestres et des vers de terre sont essentiellement consommés.Il se nourrit dans les eaux plus ou moins profondes dans les zones des marées.

ZONE DE NIDIFICATION :

La saison de reproduction a lieu au printemps, avec la ponte entre avril et début juillet.
Le Courlis cendré nidifie à découvert, ou bien dans une touffe d’herbes, sous les laîches ou au milieu des herbes. Le nid est une grande dépression dans le sol. Le mâle donne des coups de griffe grossiers, tandis que la femelle collecte les matériaux pour tapisser l’intérieur, habituellement des herbes douces et occasionnellement quelques plumes. La femelle dépose 4 œufs olive-brunâtres avec des marques sombres. Les deux sexes incubent pendant 27-29 jours. A la naissance, les poussins duveteux sont chamois-ocre sur le dessus, avec des taches sombres. L’abdomen est chamois-crème et la calotte est noire. Ils sont nidifuges et les deux parents les élèvent ensemble. Ils sont emplumés au bout de 32-38 jours après la naissance.
L’échec de reproduction est causé par la prédation et les pratiques agricoles qui détruisent les nids au sol.




ZONE D´HIBERNATION :

Il hiverne depuis l’Islande et les Iles Britanniques, vers le sud jusqu’à la Méditerranée et le nord-ouest de l’Afrique, et vers l’est jusqu’au Golfe Persique et l’ouest de l’Inde. Le Courlis cendré est migrateur, bien que quelques oiseaux soient résidents dans l’ouest de la distribution, dans les iles Britanniques et l’Irlande, et de petits nombres hivernent même en Islande et aux Iles Féroé.
La race nominale « torquata » hiverne loin au sud jusqu’au Banc d’Arguin (Mauritanie), au Maroc, en Algérie et en Italie. La race « orientalis » hiverne dans les autres aires d’hivernage africaines, venant du centre de la Sibérie.  Ces oiseaux sont très fidèles à leurs aires d’hivernage.
Le Courlis cendré vole avec des battements relativement lents, semblables à ceux des goélands.


Bibliographie :
Site : Courlis cendré
Consulté le : 13/10/2013                                                                                          
Disponible sur : http://www.oiseaux-birds.com/fiche-courlis-cendre.html

dimanche 29 septembre 2013

La migration des oiseaux à Urdaibai






Pourquoi les oiseaux migrent ?

Les oiseaux qui migrent quittent le Sud au printemps pour venir nicher dans nos régions, profitant ainsi d'une nourriture abondante et de longues heures d'ensoleillement. Ils quittent ensuite nos régions à l'approche de l'hiver car ils n'ont plus assez de nourriture à se mettre dans le bec. Avant de s'envoler, ils mangent davantage pour faire des réserves de graisse. Ces graisses leur fourniront toute l'énergie nécessaire pour voler pendant de longues heures sans avoir à se nourrir. Ils resteront ainsi tout l'hiver dans des régions situées plus au sud. La nourriture y est beaucoup plus abondante et l'hiver moins rigoureux.


Migration à Urdaibai


L’embouchure de la rivière Oka dans la mer Cantabrique forme la ria de Gernika, Mundaka ou Urdaibai, l’estuaire le mieux conservé de la Communauté Autonome du Pays Basque. Déclarée Réserve de la Biosphère par l’UNESCO en
1984, ses prés humides, ses jonchaies et sa zone intermarées constituent un site stratégique de repos pour les oiseaux qui suivent les côtes atlantiques européennes dans leur migration. De nombreuses espèces de limicoles peuvent ainsi y être observées, ainsi que la spatule, les canards et le balbuzard pêcheur. Les oiseaux hivernants y sont nombreux, surtout lors des vagues de froid pendant lesquelles la ria et ses alentours constituent un refuge d’importance vitale pour une grande quantité d’oiseaux septentrionaux, parmi lesquels certains ne sont présents que très occasionnellement sur la
Péninsule ibérique.


Bibliographie 1 :
Site : Pourquoi les oiseaux migrent-ils ?

Consulté le : 5/10/2013
Disponible sur:
http://geniusinfo.net/nov06.html


Bibliographie 2 :
Site : Réserve de la biosphère d´Urdaibai
Consulté le :5/10/2013


 
Voir vidéo :

samedi 28 septembre 2013

Les plantes invasives en Bizkaye



Problèmes

L’Herbe de la Pampa, originaire d’Amérique du Sud, est une plante ornementale. Elle s’est très bien adaptée aux conditions écologiques de La Réunion, mais comme partout dans le monde, elle est une menace pour la biodiversité. Il est donc urgent de stopper sa propagation dans le milieu naturel. En effet, un seul pied de cette plante produit plusieurs millions de graines qui peuvent être dispersées à près de 30 km par le vent, mais aussi par les cours d’eau ou les pneus des véhicules.En occupant l’habitat de nombreuses plantes endémiques fragiles de l’Île de La Réunion, elle peut provoquer leur disparition.Cette plante est dangereuse, car très combustible, et elle favorise donc la propagation des incendies. Ses feuilles très coupantes peuvent provoquer de profondes blessures.Depuis quelques années, des individus d’Herbe de la Pampa sont présents sur l’île, l’objectif principal en 2013 est de parvenir à les éliminer avant que les populations ne s’étendent davantage dans le milieu naturel.

Solutions

C’est à Salazie que l’on a dénombré le plus grand nombre d’individus en milieux naturels ou en proche périphérie.A La Plaine des Palmistes et à La Plaine des Cafres, on en retrouve principalement dans les jardins des particuliers.Pour ces derniers, il est proposé de mener une action pilote dans les villages de La Plaine des Palmistes et de La Plaine des Cafres. L’objectif est tout d’abord d’expliquer aux détenteurs d’individus d’Herbe de la Pampa l’importance de les éliminer pour la conservation des milieux et espèces indigènes. Ensuite, pour les volontaires, il s’agit de leur proposer une élimination par des ouvriers forestiers et son remplacement par des plants d’espèces indigènes.Pour parvenir à l’éliminer durablement dans les milieux naturels, il est primordial que cette espèce ne soit plus plantée dans les jardins. Il est donc important de sensibiliser la population à l’impact de cette peste sur les écosystèmes.

Bibliographie 1 :
Site : Lutte contre les espèces invasives
Consulté le :5/10/2013
Disponible sur : http://www.temoignages.re/l-herbe-de-la-pampa-une-nouvelle-menace-pour-la-biodiversite,70548.html

Bibliographie 2 :
Site : Lutte contre les espèces invasives
Consulté le :5/10/2013
Disponible sur : http://www.temoignages.re/l-herbe-de-la-pampa-une-nouvelle-menace-pour-la-biodiversite,70548.html


dimanche 22 septembre 2013

Agriculture et faim monde


Dans les 50 dernières années, la technologie moderne est parvenue à tripler la production céréalière mondiale et malgré cela plus d’1 milliard de personnes souffrent de la faim, 30 millions en meurent chaque année.

L’explosion démographique a surpeuplé la planète avec 6 milliards de personnes et une augmentation annuelle de 95 millions, alors que la surface cultivable est en train de se réduire avec la progression du désert.

Obtenir que la population mondiale se stabilise et qu’elle se nourrisse convenablement est sans aucun doute le grand défi de notre planète.

L'agriculture intensive est aujourd'hui fortement remise en question et ce n'est pas sans raison. Dégradation du paysage et du sol, procédés contestables de culture et d'élevage, mondialisation et appauvrissement de pays déjà en difficulté, mais aussi risques alimentaires réels.

Derrière cette agriculture intensive se cachent des enjeux économiques énormes, et le marché mondial est contrôlé par les grandes industries de l'agrochimie, propriétaires des herbicides, des pesticides et des semences.

Toujours plus de déchets



L’augmentation de la consommation et le changement de style de vie, font que les richesses naturelles du sol sont chaque jour un peu plus exploitées


L’augmentation de la consommation a également provoqué une augmentation des déchets au point que certains n’hésitent pas à comparer les ordures à une maladie qui peut en terminer avec la planète terre: l’infarctus des déchets.




Mais qu'appelle-t-on déchet?




Tout produit qui après avoir été fabriqué, touché ou utilisé perd de sa valeur pour la personne qui le possède.


Le niveau économique de chacun va conditionner la valeur que l’on donne à chaque chose et le plus ou moins long usage que l’on va en faire.


Le concept de déchet, est donc très relatif, puisque on peut considérer déchet quelque chose qui ne l’est pas pour le voisin.




Et l'évacuation de nos déchets pose problème d'autant plus que les quantités ne cessent d'augmenter.


De tous les résidus produits dans la ville, ceux qui sont le plus en relation avec notre propre consommation, sont ceux que l’on trouve dans notre sac poubelle.

lundi 16 septembre 2013

L’agriculture en question



Dans la mesure ou nous obtenons les aliments de la terre, l’agriculture et l’élevage sont la base de notre culture, notre civilisation.

Tout au long du 20eme siècle, les agriculteurs/agricultrices des pays industrialisés se sont lancés dans la course folle de la productivité, en ayant recours, chaque fois un peu plus à l’usage de machines agricoles et de carburant, d’engrais chimiques, de pesticides…C’est la « Révolution verte ».

Ces systèmes intensifs de production ont contribué à améliorer notre niveau de vie, cependant le revers de la médaille est peu brillant : sols dégradés, eaux contaminées, perte de la biodiversité, aliments avec des résidus dangereux pour notre santé.

La globalisation impose ces modèles de production intensive à l’ensemble de la planète, et de nombreux agriculteurs sont dépossédés de leur terre et se voient obligés à émigrer vers la « terre promise ». Cette situation provoque la perte de la vie rurale et sa culture, la pauvreté et la faim dans le monde.