dimanche 29 septembre 2013

La migration des oiseaux à Urdaibai






Pourquoi les oiseaux migrent ?

Les oiseaux qui migrent quittent le Sud au printemps pour venir nicher dans nos régions, profitant ainsi d'une nourriture abondante et de longues heures d'ensoleillement. Ils quittent ensuite nos régions à l'approche de l'hiver car ils n'ont plus assez de nourriture à se mettre dans le bec. Avant de s'envoler, ils mangent davantage pour faire des réserves de graisse. Ces graisses leur fourniront toute l'énergie nécessaire pour voler pendant de longues heures sans avoir à se nourrir. Ils resteront ainsi tout l'hiver dans des régions situées plus au sud. La nourriture y est beaucoup plus abondante et l'hiver moins rigoureux.


Migration à Urdaibai


L’embouchure de la rivière Oka dans la mer Cantabrique forme la ria de Gernika, Mundaka ou Urdaibai, l’estuaire le mieux conservé de la Communauté Autonome du Pays Basque. Déclarée Réserve de la Biosphère par l’UNESCO en
1984, ses prés humides, ses jonchaies et sa zone intermarées constituent un site stratégique de repos pour les oiseaux qui suivent les côtes atlantiques européennes dans leur migration. De nombreuses espèces de limicoles peuvent ainsi y être observées, ainsi que la spatule, les canards et le balbuzard pêcheur. Les oiseaux hivernants y sont nombreux, surtout lors des vagues de froid pendant lesquelles la ria et ses alentours constituent un refuge d’importance vitale pour une grande quantité d’oiseaux septentrionaux, parmi lesquels certains ne sont présents que très occasionnellement sur la
Péninsule ibérique.


Bibliographie 1 :
Site : Pourquoi les oiseaux migrent-ils ?

Consulté le : 5/10/2013
Disponible sur:
http://geniusinfo.net/nov06.html


Bibliographie 2 :
Site : Réserve de la biosphère d´Urdaibai
Consulté le :5/10/2013


 
Voir vidéo :

samedi 28 septembre 2013

Les plantes invasives en Bizkaye



Problèmes

L’Herbe de la Pampa, originaire d’Amérique du Sud, est une plante ornementale. Elle s’est très bien adaptée aux conditions écologiques de La Réunion, mais comme partout dans le monde, elle est une menace pour la biodiversité. Il est donc urgent de stopper sa propagation dans le milieu naturel. En effet, un seul pied de cette plante produit plusieurs millions de graines qui peuvent être dispersées à près de 30 km par le vent, mais aussi par les cours d’eau ou les pneus des véhicules.En occupant l’habitat de nombreuses plantes endémiques fragiles de l’Île de La Réunion, elle peut provoquer leur disparition.Cette plante est dangereuse, car très combustible, et elle favorise donc la propagation des incendies. Ses feuilles très coupantes peuvent provoquer de profondes blessures.Depuis quelques années, des individus d’Herbe de la Pampa sont présents sur l’île, l’objectif principal en 2013 est de parvenir à les éliminer avant que les populations ne s’étendent davantage dans le milieu naturel.

Solutions

C’est à Salazie que l’on a dénombré le plus grand nombre d’individus en milieux naturels ou en proche périphérie.A La Plaine des Palmistes et à La Plaine des Cafres, on en retrouve principalement dans les jardins des particuliers.Pour ces derniers, il est proposé de mener une action pilote dans les villages de La Plaine des Palmistes et de La Plaine des Cafres. L’objectif est tout d’abord d’expliquer aux détenteurs d’individus d’Herbe de la Pampa l’importance de les éliminer pour la conservation des milieux et espèces indigènes. Ensuite, pour les volontaires, il s’agit de leur proposer une élimination par des ouvriers forestiers et son remplacement par des plants d’espèces indigènes.Pour parvenir à l’éliminer durablement dans les milieux naturels, il est primordial que cette espèce ne soit plus plantée dans les jardins. Il est donc important de sensibiliser la population à l’impact de cette peste sur les écosystèmes.

Bibliographie 1 :
Site : Lutte contre les espèces invasives
Consulté le :5/10/2013
Disponible sur : http://www.temoignages.re/l-herbe-de-la-pampa-une-nouvelle-menace-pour-la-biodiversite,70548.html

Bibliographie 2 :
Site : Lutte contre les espèces invasives
Consulté le :5/10/2013
Disponible sur : http://www.temoignages.re/l-herbe-de-la-pampa-une-nouvelle-menace-pour-la-biodiversite,70548.html


dimanche 22 septembre 2013

Agriculture et faim monde


Dans les 50 dernières années, la technologie moderne est parvenue à tripler la production céréalière mondiale et malgré cela plus d’1 milliard de personnes souffrent de la faim, 30 millions en meurent chaque année.

L’explosion démographique a surpeuplé la planète avec 6 milliards de personnes et une augmentation annuelle de 95 millions, alors que la surface cultivable est en train de se réduire avec la progression du désert.

Obtenir que la population mondiale se stabilise et qu’elle se nourrisse convenablement est sans aucun doute le grand défi de notre planète.

L'agriculture intensive est aujourd'hui fortement remise en question et ce n'est pas sans raison. Dégradation du paysage et du sol, procédés contestables de culture et d'élevage, mondialisation et appauvrissement de pays déjà en difficulté, mais aussi risques alimentaires réels.

Derrière cette agriculture intensive se cachent des enjeux économiques énormes, et le marché mondial est contrôlé par les grandes industries de l'agrochimie, propriétaires des herbicides, des pesticides et des semences.

Toujours plus de déchets



L’augmentation de la consommation et le changement de style de vie, font que les richesses naturelles du sol sont chaque jour un peu plus exploitées


L’augmentation de la consommation a également provoqué une augmentation des déchets au point que certains n’hésitent pas à comparer les ordures à une maladie qui peut en terminer avec la planète terre: l’infarctus des déchets.




Mais qu'appelle-t-on déchet?




Tout produit qui après avoir été fabriqué, touché ou utilisé perd de sa valeur pour la personne qui le possède.


Le niveau économique de chacun va conditionner la valeur que l’on donne à chaque chose et le plus ou moins long usage que l’on va en faire.


Le concept de déchet, est donc très relatif, puisque on peut considérer déchet quelque chose qui ne l’est pas pour le voisin.




Et l'évacuation de nos déchets pose problème d'autant plus que les quantités ne cessent d'augmenter.


De tous les résidus produits dans la ville, ceux qui sont le plus en relation avec notre propre consommation, sont ceux que l’on trouve dans notre sac poubelle.

lundi 16 septembre 2013

L’agriculture en question



Dans la mesure ou nous obtenons les aliments de la terre, l’agriculture et l’élevage sont la base de notre culture, notre civilisation.

Tout au long du 20eme siècle, les agriculteurs/agricultrices des pays industrialisés se sont lancés dans la course folle de la productivité, en ayant recours, chaque fois un peu plus à l’usage de machines agricoles et de carburant, d’engrais chimiques, de pesticides…C’est la « Révolution verte ».

Ces systèmes intensifs de production ont contribué à améliorer notre niveau de vie, cependant le revers de la médaille est peu brillant : sols dégradés, eaux contaminées, perte de la biodiversité, aliments avec des résidus dangereux pour notre santé.

La globalisation impose ces modèles de production intensive à l’ensemble de la planète, et de nombreux agriculteurs sont dépossédés de leur terre et se voient obligés à émigrer vers la « terre promise ». Cette situation provoque la perte de la vie rurale et sa culture, la pauvreté et la faim dans le monde.